La douleur n’est pas une fatalité

La douleur n’est pas une fatalité. Parfois elle nous accompagne depuis si longtemps qu’elle finit par faire partie de notre identité. Nous devenons notre douleur.
Pendant des années, j’ai cru que j’étais condamnée à souffrir toute ma vie. J’avais tout fait comme il faut : passé des batteries d’examens et consulté des spécialistes, une opération, une longue convalescence, des douleurs persistantes et encore plus intenses. J’ai commencé à m’interroger quand on m’a dit 2 choses : Mademoiselle, pensez à autre chose. Et : C’est psychosomatique mon petit (air désolé 😔)

Mon hystérie et moi-même sommes donc parties chercher des solutions ailleurs.
Du côté des médecines traditionnelles et millénaires, qui prennent en compte le globalité de ce que nous sommes : le corps fonctionne avec la tête et inversement.

Il est important de comprendre, à mon sens, qu’un seul praticien et une seule médecine n’apporteront pas toutes les réponses. Il faut chercher, tâtonner, partir à la découverte de notre corps qui, encore à notre époque, garde de nombreux mystères. Bien souvent les diagnostics et les constatations se recoupent, à nous de trouver notre chemin à travers.

En cours particuliers, je rencontre toutes formes de douleurs ou de pathologies. J’écoute et guide chacun grâce à l’expertise acquise au fil des années. Toutefois, je suis loin de tout savoir et je conseille souvent d’autres praticiens pour une prise en charge globale, dans laquelle chacun possède son propre domaine de compétence. Des solutions existent, nous ne sommes pas condamnés à être prisonnier de notre corps ni de nos souffrances.

Les praticiens qui m’ont soulagée/guérie au fil des années et sont une grande source d’inspiration : Eric Pouille, acupuncteur à Béthune, Agathe Philbé, praticiennne du mouvement, Ohad Naharin, chorégraphe, Rod stryker, mon professeur de yoga, David Meynardie, mon ostéopathe et Ido Portal pour sa conception du corps et du mouvement. Merci à eux